Le charme désuet des messes d’été
L’été, ma banlieue se vide. Même cette année, le coronavirus n’a pas empêché les migrations estivales, même si les destinations ont sans doute changé. On se retrouve ainsi le dimanche dans une église bien clairsemée, avec quelques autres travailleurs pas encore partis ou déjà rentrés, délestés de leurs enfants envoyés au loin, et avec ceux qui n’ont pas trop d’ailleurs où aller – parmi lesquels beaucoup de nos aînés. Cela se ressent sur nos liturgies […]